De passage à Paris , le président Recep Tayyip Erdogan a rencontré son homologue français François Hollande . Dans son discours le président turc l'a joué très fine, "à la turque" : il a critiqué la coalition pour ne se concentrer que sur la ville de Kobané ,laissant de côté d'autres villes . Or l'urgence est bien dans la ville de Kobané .Heureusement l'aviation américaine n'a pas tenu compte des "conseils" du président Erdogan et a recommencé les frappes ciblées sur la ville de Kobané.
Pendant ce temps les peshmergas ont pu traverser la frontière turque, ouverte pour les laisser passer, après une amicale "pression américaine". On ne sait pas encore combien a coûté aux Américains , cette pression sur le gouvernement turc.
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